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Au Niger, principalement dans la région du soleil levant( Diffa), les précipitations de ces deux dernières années sont excédentaires. L’abondance de ces précipitations constitue en effet un canal clé par lequel …
AJIR CIGABA a pour but de promouvoir des œuvres sociales et humanitaires, sensibiliser et appuyer la jeunesse en particulier et la population en général dans une logique de développement. Son siège …
Les fortes pluies qui s’abattent depuis juin, ont fait neuf morts et plus de 20.000 sinistrés, selon un communiqué du gouvernement publié mardi. “Suite aux fortes précipitations enregistrées depuis le …
Les fortes pluies qui s’abattent depuis juin, ont fait neuf morts et plus de 20.000 sinistrés, selon un communiqué du gouvernement publié mardi.
“Suite aux fortes précipitations enregistrées depuis le début de la saison hivernale jusqu’au 20 juillet, on dénombre 2.220 ménages sinistrés soit 20.174 personnes et d’importants dégâts matériels dus aux inondations”, selon le communiqué du ministère de l’Intérieur transmis à l’AFP, qui précise que plus de 2.000 habitations ont été détruites.
On dénombre également “neuf pertes en vies humaines” – cinq par noyade, quatre dans l’effondrement d’habitations – et 17 blessés, principalement dans les régions de Dosso (Sud-Ouest), Maradi (centre-Sud) et dans celle de Tahoua et Tillabéri (Ouest), selon le ministère de l’Intérieur.
Pour éviter le pire, le ministère de l’Intérieur appelle les habitants à éviter de s’abriter dans les maisons en ruine et à ne pas s’installer dans des zones inondables.
Pour lutter contre la contrebande qui coûte cher à son budget, le Nigeria a décidé de façon unilatérale et brutale de fermer sa frontière de plus de 1.500 kilomètres avec le …
Pour lutter contre la contrebande qui coûte cher à son budget, le Nigeria a décidé de façon unilatérale et brutale de fermer sa frontière de plus de 1.500 kilomètres avec le Niger, un des Etats les plus pauvres au monde, de même qu’avec ses autres voisins.
“On se tourne les pouces et on prie”, raconte Amadou Idi, un transitaire au “chômage technique” de Dan Issa, dernier poste de contrôle du Niger avant la frontière, assis sous un abri de fortune pour se protéger de la pluie.
A Dan Issa, de longues files de camions du Niger et de pays ouest-africains, vides ou chargés de marchandises, sont toujours bloqués à la frontière nigériane. Chauffeurs et apprentis dorment à même le sol ou dans les cabines de leurs mastodontes et “prient” pour une réouverture rapide de la frontière.
Le long du trajet d’une trentaine de kilomètres séparant Maradi, la grande ville du Sud-Est, de la frontière nigériane, des douaniers et des policiers en uniformes bavardent en buvant du thé ou du café.
“On vendait le sac de 100 kg de niébé (haricot) à 18.500 francs CFA (27 euros) mais depuis la fermeture de la frontière, son prix a chuté à 17.000, voire 16.000 FCFA (24 euros)”
Une carte d’identité (parfois appelée pièce d’identité ou papier d’identité) est un document officiel qui permet à une personne physique de prouver son identité. Au Niger cela fait des années que …
Une carte d’identité (parfois appelée pièce d’identité ou papier d’identité) est un document officiel qui permet à une personne physique de prouver son identité.
Au Niger cela fait des années que le gouvernement ne veut pas procéder à une informatisation de la carte nationale pour des raisons que nous ignorant. Presque tous les pays de l’Afrique ont procédé à une modernisation de leur carte nationale sauf le Niger qui veut rester fidèle à ses traditions. Le gouvernement veut profiter cette situation de « sous modernité » pour leur « magouille », leur trafic d’identité, leur fraude aux élections…. Le gouvernement fait retarder toute procédure de modernisation avec leur seule excuse est le moyen financier et de personnel qualifié pour la gestion d’un tel système informatique assez complexe.
Le Niger a besoin d’informatiser cette carte pour gagner de la crédibilité à côté de ces voisins et aussi dans la CEDEAO, depuis la mise en place de la carte d’identité biométrique de la CEDEAO le Niger n’a pas assez fourni plus de sérieux pour la mise en place dans son pays.
Les étudiants nigériens ont beaucoup torpillé leurs années académiques antérieur et celles qui vont venir certainement, il suffit d’un simple retour en arrière pour le comprendre. Seulement les grèves de l’année …
Les étudiants nigériens ont beaucoup torpillé leurs années académiques antérieur et celles qui vont venir certainement, il suffit d’un simple retour en arrière pour le comprendre. Seulement les grèves de l’année passée à titre illustratif, qui ont secoué l’école nigériens nous donne un aperçu de la situation et de la qualité des études au Niger.
Certains étudiants ne comprennent même pas la finalité de cette lutte syndicale, c’est vrai que toutes les luttes que mène le syndicat des scolaires nigérien sont fondées, mais mérite-t-elle un tel sacrifice qui ne servirait peut-être à rien ? car nous connaissons tous nos gouvernements africains aussi mule qu’ils paraient. A titre d’exemple la grève illimitée que l’USN avait décrété l’année académique 2017-2018 n’avait même pas inquiété le gouvernement du Niger.
« Si le gouvernement ne se montre pas responsable il est du devoir des étudiants de se montrer responsable »
L’un des facteurs de la baisse du niveau des élèves est du surtout au manque d’achèvement du programme scolaire et de la perturbation de ce dernier. Sans compter les conséquences que sa engendre, qui est le taux d’échec aux examens au Niger. L’école nigérienne a eu un nombre incalculable de perturbation scolaire depuis l’indépendance jusqu’à aujourd’hui et ces perturbations auront des beaux jours devant elles. Si le gouvernement ne se montre pas responsable il est du devoir des étudiants de se montrer responsable, à ne pas suivre le gouvernement dans ses absurdités, car c’est toujours les étudiants qui sont les grands perdants. En réalité c’est le Niger qui en perd beaucoup.
« Il est de leur devoir de rattraper les cours perdus durant leurs grèves »
Maintenant répondons comment se ferra cette lutte pacifique qui ne nuira pas leurs études. Les étudiants peuvent lancer des messages, des appels dans leurs rédactions scolaires, dans leurs essayes littéraires enfin d’attirés l’attention de l’opinion nationale et internationale qui vont certainement les soutenir dans leur combat digne. Il y a aussi les médias sociaux, les réseaux sociaux pour faire passer les dérisoires du gouvernement. Les étudiants peuvent faire aussi des sit-in dans les heures où il n’y a pas de cours. Pour les petits sacrifices, il est de leur devoir de rattraper les cours perdus durant leurs grèves, soit en organisant eux même des séances de mise à niveau effectuer par des associations d’étudiant et d’anciens élèves pour les parrainés. Ou bien ils doivent obliger le gouvernement à organiser des séances de mise à niveau. Nous savons tous à quel point le savoir est utile dans la vie, donc les étudiant n’ont aucune excuse pour s’en dispenser.
Pour terminer nous disons aux étudiants syndicalistes du Niger qu’une lutte sans état de conscience et de conséquence est toujours vouer à l’échec. Il faudra aussi que chaque étudiant se demande ce qu’il veut dans sa vie et qu’il sache aussi que personne ne pourra garantir son avenir à par lui-même.
Bien que le châtiment corporel soit interdit dans les établissements scolaires, il persiste au sein des familles. En effet, cette pratique reste très courante : les enfants subissent différentes formes de …
Bien que le châtiment corporel soit interdit dans les établissements scolaires, il persiste au sein des familles. En effet, cette pratique reste très courante : les enfants subissent différentes formes de violence et de négligence. Bien souvent, les parents utilisent les objets qui sont à leur portée pour châtier leurs petits.
La dénonciation des violences physiques envers les enfants est perçue comme une violation de la vie privée par les familles. Ces dernières sont encore d’avis que les châtiments corporels permettent d’éduquer les enfants.
Un service d’ophtalmologie a révélé que 25 % des traumatismes oculaires étaient dus aux claques. Pourtant, la constitution et le code pénal protège l’enfant de toutes formes de violence. Cela n’est pas respecté dans le milieu familial et les écoles coraniques où les poursuites judiciaires sont très rares.
La médecine préventive est la branche de la médecine consistant à donner des conseils d’hygiène au sens large (propreté, mais aussi diététique, encouragement à un sport ou une activité physique, ergonomie …
La médecine préventive est la branche de la médecine consistant à donner des conseils d’hygiène au sens large (propreté, mais aussi diététique, encouragement à un sport ou une activité physique, ergonomie et manière de faire des efforts, prévention des conduites à risque…) ainsi qu’au dépistage de maladie.
Les MSF (Médecins sans frontières) a donné l’alerte quant au taux de mortalité très élevé dans le sud du Niger, l’un des pays les plus pauvres de la planète. Selon l’Ong internationale, ce sont en moyenne 10 enfants âgés de moins de 5 ans qui meurent… chaque jour à Magaria. ces enfants sont frappés pour la plupart d’entre eux par des formes assez graves de paludisme, ou encore, de malnutrition. Le mois d’août a battu le record d’admission d’enfants dans cette unité pédiatrique, avec 3.311 enfants malades enregistrés.
« Le paludisme »
Le paludisme ou la malaria est une maladie infectieuse due à un parasite du genre Plasmodium, propagée par la piqûre de certaines espèces de moustiques anophèles. C’est en 1897 que le médecin anglais Ronald Ross (prix Nobel en 1902) prouva que les moustiques anophèles étaient les vecteurs de la malaria (jusqu’à cette date, le « mauvais air » émanant des marécages était tenu responsable de la propagation de la maladie).
« Les conséquences des inondations »
Le Niger a été dévasté, depuis le début de la saison des pluies, par les inondations. 22 personnes ont été tuées, plus de 130 000 ont été sinistrées. Les pluies ont aussi détruit plus de 8 000 hectares de culture et décimé plus de 30 000 têtes de bétail. Cinq régions ont été frappées, à Niamey, la capitale, mais surtout à Agadez, dans le nord, ou encore à Zinder, dans le sud où les habitants qui ont vu leur maison s’effondrer continuent de vivre dans des conditions précaires.
Les inondations au Niger on laisser beaucoup de marécages, ce qui à favoriser la prolifération des vecteurs des maladies comme le paludisme et le choléra.
Mais tous cela pouvait être évités si le gouvernement a pris ses responsabilités en créant des systèmes d’évacuation des eaux de pluies ayant cossant mort de personne et des sinistrés. Les eaux qui stagnantes après la pluie, créées beaucoup plus de mal en favorisant la multiplication des maladies comme le paludisme et le choléra. Sans compter les sinistrés qui sont souvent logés dans des classes, perturbant ainsi la rentrée scolaire des élèves, c’est-à-dire le manque de ces systèmes d’évacuation d’eau paralyse tout un pays. Ceux qui est vraiment triste ce que les personnes et l’Etat savent d’avance qu’ils vont être confronter à des problèmes de ce genre chaque année mais personne ne fait rien, ils attendent toujours pour que le mal ce point pour essayer de trouver des solutions avec les partenaires pour le développement… Le fait de créer des systèmes d’évacuation d’eau et aider la population dans la construction de maison plus résistant et veiller à la salubrité, est de notre point de vu une médecine préventive ce qui sauvera des vies.
Ce sont les même problème qu’on rencontre un peu partout dans les pays de la sous région de l’Afrique.
La célébration de la fête de Tabaski à Niamey est principalement caractérisée par la grillade de mouton. Chaque année à la célébration de cet événement religieux, qui symbolise le partage et …
La célébration de la fête de Tabaski à Niamey est principalement caractérisée par la grillade de mouton. Chaque année à la célébration de cet événement religieux, qui symbolise le partage et la générosité envers les pauvres et les nécessiteux, les communautés musulmanes du Niger font recours à plusieurs tonnes de bois dans le cadre de la grillade.
En 2016, Pour la seule journée de la Tabaski à Niamey, la consommation de bois pour la grillade de la viande est du jamais-vu depuis vingt ans, pays aux deux tiers désertiques.
La consommation annuelle est de l’ordre de 307 160 tonnes. Plus de 50 000 tonnes de bois [ont été] consommées pour la seule journée de la fête de la Tabaski.
Nous disons que c’est énorme, et qu’il faut qu’on songe vraiment à réduire cette consommation abusive en termes de bois énergie (source : direction de l’environnement de la région de Niamey).
En effet, le bois est le combustible préféré des ménages au Niger, utilisé par 77% des habitants.
Vu la démographie galopante de la population du Niger d’ici peu de temps l’utilisation abusive du bois de façon général est un vrai désastre écologie.
Cette inquiétante situation constitue aussi une menace pour le couvert végétal dans son ensemble et porte du coup un frein aux nombreux effort fournis par les autorités nigériennes et des organisations intervenant dans la lutte contre la déforestation.
Une femme et son fils transportent du bois dans la région de Diffa dans le sud-est du Niger, le 20 juin 2016 AFP/ARCHIVES – ISSOUF SANOGO
Alternatives à la consommation du bois :
Mais comment remédier à ce phénomène ? La promotion, de ce que nous connaissons des foyers améliorés […] qui réduisent significativement la consommation du bois énergie, la promotion du gaz butane dont le Niger est producteur, la promotion du charbon minéral dont dispose le pays. »
Afin de diminuer cette consommation abusive de bois, les agents de l’environnement doivent sensibiliser la population à davantage s’habituer à conserver les fourches et les piquets utilisés chaque année. Ces dernières peuvent servir pendant plusieurs années si elles sont gardées dans un endroit sec. A travers des campagnes de sensibilisations, ils doivent rappeler également qu’en plus de la lutte contre la déforestation cette méthode permettra aux uns et aux autres d’économiser de l’argent à chaque fête de Tabaski. De leur coté, les organisations et associations intervenant dans la lutte contre la désertification doivent organiser à travers des séances de sensibilisation à travers lesquelles ils conseillent aux populations de s’organiser pour ériger des bûchers par groupes. Retenons que plus de 98 % des familles nigériennes utilisent le bois pour faire la cuisine et que le Niger est l’un des pays de la sous-région qui enregistre une forte consommation de bois de chauffe.
La consommation annuelle de bois par habitant dans la ville de Niamey est de 245 kilogrammes.
« Insalubrité des rues »
caniveau maternité poudrière
Presque dans tous les rues du pays, l’insalubrité règne. Les fidèles après avoir accompli leur rituelle de sacrifice ne prend surtout pas le temps d’aménager l’espace public.
Pire encore, le débordement des caniveaux par la carcasse des moutons. Il n’y pas dans un recoin où s’il se trouve un caniveau qui n’est pas bouché ou débordé par la carcasse des moutons. La population ne respect aucun règle d’hygiène lors des évacuations des restes du mouton. Les autorités locales de l’assainissement du pays doivent veuillez à ce que la population respect le minimum règle de salubrité après l’accomplissement de leur sacrifice.
Au regard de l’opération d’envergure des autorités de la 7e République connue sous le nom de « Niamey Nyala » lancée par le chef de l’Etat pour rendre propre la …
Au regard de l’opération d’envergure des autorités de la 7e République connue sous le nom de « Niamey Nyala » lancée par le chef de l’Etat pour rendre propre la capitale, rien n’est véritablement encore fait dans ce sens : la ville est sale, trop sale par endroit.
Cette saleté de Niamey se matérialise par les caniveaux remplis et bouchés vers Banga-bana, Karadjé et Gawèye dans le 5e arrondissement ; yantala dans le premier arrondissement. La même pagaille est observée dans les autres arrondissements de la capitale. C’est aussi, les tas d’immondices qui jonchent encore les rues de Gamkalé, de Kirkissoye, de Talladjé, d’Aéroport etc. Dans des quartiers comme Liberté, Lacouroussou, collège Mariama, nouveau marché, Wadata ou Balafon, les goudrons sont envahis par le sable comme si nous sommes à Goroutchirey, non loin de la pilule ou dans les communes rurales de Dargol et de Kokorou dans le département de Téra alors que nous sommes bien dans la capitale du Niger.
En vérité, aucun quartier de Niamey n’est épargné du phénomène de l’insalubrité. Face à cette situation que nous ne cessons de décrier chaque fois, que doit faire la mairie ? Et que doivent également faire les populations qui y l’envient sur le territoire de la capitale ? Les autorités municipales doivent se donner les moyens appropriés pour sensibiliser les citadins sur le phénomène et ses conséquences sur leur santé. Pour se faire et réussir ce pari, les sketchs, les théâtres et même des films court métrages sont nécessaires pour conscientiser les populations.
C’est dire qu’il faut impérativement créer une nouvelle mentalité à ce niveau et là, c’est à la municipalité d’effectuer ce travail qui fait d’ailleurs parti de ses missions régaliennes. Maintenant, le gros du travail repose sur la mairie qui perçoit des taxes de toutes sortes. C’est à elle de curer périodiquement les caniveaux, balayer les goudrons et les rues de la ville mais aussi d’en créer davantage d’infrastructures de voirie et de les entretenir. Vous visitez la ville en ce moment, rien de tout cela, tout est « mélangé » comme le dit l’autre. On a l’impression qu’il n’y a aucune politique en matière de voirie urbaine.
C’est pourquoi, un habitant de Talladjé dans le 4e arrondissement indiquait à l’occasion du sommet du Conseil de l’Entente tenu au palais des congrès de Niamey le 17 Décembre de l’année écoulée : « j’ai appris par la radio Anfani qu’un sommet regroupe aujourd’hui 5 chefs d’Etats chez nous et regardez nos rues, nos routes et nos quartiers. Ce n’est vraiment pas la peine. Moi, j’ai honte pour nos autorités parce que nos étrangers ont certainement fait la différence dès à l’envient très de la ville et cela malgré notre or, notre uranium et notre pétrole ».
A cette question d’insalubrité s’ajoute celle du manque d’éclairage public digne de ce nom à Niamey, une situation déplorée par tous avec le regain d’insécurité dans la sous-région. En tout cas, la ville est sombre à de nombreux endroits comme dans un cimetière, une situation inadmissible en cette ère dite de globalisation et de mondialisation. Nous y reviendrons sur cette dernière question beaucoup plus en détails
Comme nous le savons tous le Niger souffre d’un manque de nombreuse infrastructure dont la plus handicapante est celle de l’absence des systèmes canalisations. La planification, l’étude et la mise en …
Comme nous le savons tous le Niger souffre d’un manque de nombreuse infrastructure dont la plus handicapante est celle de l’absence des systèmes canalisations.
La planification, l’étude et la mise en place d’un système de canalisation sont les derniers soucis de l’état nigérien. Nous le savon tous, des dangers d’un manque de tels infrastructure dans un pays ou la population est galopante et une très forte densité dans certaine région du pays comme Niamey la capitale. SE Mr Issoufou Mahamadou dans son projet « Niamey Nyalla » à sans doute oublier qu’une capitale ne peut en aucun devenir une « smart city » sans un énorme travail du côté de l’assainissement de la ville, dans un projet d’assainissement se trouve forcement la mise en place d’un système de canalisation.
Les canalisations actuelles sont, soient males faites, incomplètes, inachevées. Elle crée plus de mal, que sont rôle quelle est sensé jouer.
En 2012, la Banque mondiale s’alarmait de l’impact économique exorbitant, sur le continent, du manque d’assainissement : les lacunes de ce secteur, qui comprend l’évacuation des eaux pluviales ainsi que la collecte et le traitement des eaux usées, coûteraient à une vingtaine de pays 1 % à 2,5 % de leur PIB annuel. Soit, au total, près de 4,2 milliards d’euros, si l’on ne tient compte « que » des conséquences sanitaires directes sur les populations (décès prématurés, dépenses de santé, etc.). Et il faut ajouter à ce bilan des effets à long terme plus difficiles à évaluer, comme l’apparition d’épidémies, le mauvais développement infantile ou la dégradation de l’environnement.
En Aoute 2018, suite un manque de d’infrastructure de canalisation d’eau pluviométrique l’échangeur Diori Hamani, c’est vue une stagnation de l’eau de la pluie.
Le projet « Niamey Nyalla » est une utopie pour les nigériens.