
Inauguration au Kenya du plus grand parc éolien d’Afrique
Le Kenya a inauguré vendredi 19 juillet le plus grand parc éolien d’Afrique, 365 éoliennes situées dans une zone semi-désertique du nord du Kenya et qui produisent plus de 15% des …
«une bonne analyse de l'information»
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Le Kenya a inauguré vendredi 19 juillet le plus grand parc éolien d’Afrique, 365 éoliennes situées dans une zone semi-désertique du nord du Kenya et qui produisent plus de 15% des besoins en électricité du pays.
Le président kényan Uhuru Kenyatta a déclaré lors de l’ouverture :« Aujourd’hui, nous avons à nouveau haussé la barre pour le continent alors que nous inaugurons le plus grand parc éolien d’Afrique »
« Sans aucun doute, le Kenya est en train de devenir un leader mondial en matière d’énergie renouvelable », a-t-il ajouté.
le projet a un coût de 680 millions de dollars (600 millions d’euros) et représente le plus grand investissement privé de l’histoire du Kenya. la centrale a une capacité de fourniture de 310 mégawatts d’énergie renouvelable au réseau national de l’économie la plus dynamique d’Afrique de l’Est.
Le Premier nigérien Brigi Rafini a inauguré samedi 24 novembre 2018 à Malbaza (Tahoua, Niger) la première centrale solaire du pays d’une capacité de 7 MW qui vient renforcer les capacités …
Le Premier nigérien Brigi Rafini a inauguré samedi 24 novembre 2018 à Malbaza (Tahoua, Niger) la première centrale solaire du pays d’une capacité de 7 MW qui vient renforcer les capacités de la société nigérienne d’électricité, annonce un communiqué du Ministère nigérien de l’Energie.
Cette centrale solaire de photovoltaïque est financée par la coopération indienne.
Le Niger qui affiche l’un des taux les plus bas de la sous-région et du monde d’accès à l’électricité de 12,22% en 2017 et cela avec des fortes disparités ville/village mise …
Le Niger qui affiche l’un des taux les plus bas de la sous-région et du monde d’accès à l’électricité de 12,22% en 2017 et cela avec des fortes disparités ville/village mise sur les énergies renouvelables pour son indépendance énergétique, assure-t-on au Ministère nigérien de l’énergie.
Mais pourrait-il arriver ?
La production nationale d’électricité fournie par la Société nigérienne du Charbon d’Anou Araren (SONICHAR à base du charbon) et la Société nigérienne d’électricité (NIGELEC à partir de combustible diesel) ne couvre pas le besoin national qui est comblé par l’importation d’énergie électrique du Nigeria voisin, fait observer le Directeur de l’électricité.
Le pays présentant un bon taux d’ensoleillement, l’objectif étant d’accroitre l’indépendance énergétique sur la période 2018-2020, fait valoir le Directeur d’électricité.
Il s’agit de la centrale solaire de photovoltaïque de Malbaza (Centre) en cours de construction sur financement indien en 2018, la centrale hybride d’Agadez, Nord pour alimenter les zones rurales non servies (13 MW solaire et 60 MW diesel) prévue en 2019 avec l’appui de l’Union Européenne, la centrale solaire de Gorou Banda (20MW) dont le financement est en cours d’obtention auprès de l’Agence Française de Développement (AFD).
Il y a aussi une seconde centrale solaire de 30 MW est en cours d’étude à Gorou Banda pour desservir la banlieue de la capitale. L’Union Européenne a annoncé la réalisation de la centrale hybride d’Agadez et une solaire à Gorou Banda (Périphérie de Niamey) pour une enveloppe de 42 milliards dans le cadre de son plan d’investissement extérieur.
Deux autres sites avec des puissances de 10 à 30 MW, chacun destiné à approvisionner les régions de Maradi (Centre), Zinder (Est) et Dosso (Ouest) sont dans le pipeline.
Par ailleurs d’autres centrales solaires sont envisagées très prochainement en production interdépendance, au tour de Niamey et à l’intérieur du pays en fonction des besoins.
La stratégie d’électrification du Niger prévoit à l’horizon 2035, un accès universel à l’électricité comme suit : 80% des villages seront électrifiés sur réseau Nigelec, 5% des villages par mini réseau isolés alimentés par le solaire et 15% par Kits Solaire, a détaillé le Directeur National de l’électricité M. Mamane Noura.
Ceux qui nous ont dirigé de l’indépendance jusqu’à maintenant doivent être recommencés par la médaille des « nulles ». Ce qu’on ne peut comprendre comment dans un grand pays comme le Niger, où …
Ceux qui nous ont dirigé de l’indépendance jusqu’à maintenant doivent être recommencés par la médaille des « nulles ». Ce qu’on ne peut comprendre comment dans un grand pays comme le Niger, où il n’y a aucun investissement dans le domaine de l’énergie électrique, par comment les coupures électriques peuvent être éviter ? Et vous le savez bien, le Niger ne produise aucune source d’énergie électrique à grande quantité, en 2012 le Niger consomme plus de 1 milliard de kwh d’origine à 100% fossile et toute l’énergie provienne de l’extérieur (source : Actualitix). L’exploitation du charbon et du pétrole ne représente que 11% de sa consommation.
Depuis des décennies la population du Niger vie dans le noir, tandis que l’uranium du Niger est le deuxième fournisseur de la société AREVA qui alimente les centrales nucléaires de la France, où en France chaque foyer à accès à l’électricité; jusqu’à ce que la France exporte de l’électricité, elle devient 1er exportateur d’électricité au monde en 2015 (source : AIE), indirectement grâce au Niger.
Le 2 Février 1969, feu Diori Hamani se rend à Arlit, Agadez , région du Niger pour l’inauguration de la 1er mine à ciel ouvert, jusqu’à aujourd’hui le Niger ne bénéficie aucunement de cet uranium qui ce classe 4éme exportateur mondiale d’uranium.
Le gouvernement du Niger, la Nigelec n’ont ménagé aucun effort pour la mise en place d’un projet de l’énergie électrique alternative, ils sont toujours sur le dos de son voisin le Nigéria deuxième exportateur de pétrole au Monde.
Les gouvernements font une si grande preuve de laxisme sans précédente, aucun esprit d’innovation toujours si c’est que patauger dans la « boue du sous-développement »
« À Arlit, il y a beaucoup de problèmes de santé »
Avant que le gouvernement nigérien n’organise l’extraction de l’uranium, la région d’Arlit était un territoire où transitaient librement les peuples nomades du désert. Les Touaregs, chassés par l’arrivée d’Orano (anciennement Areva) doivent cohabiter près des sites d’extraction qui déforment les paysages naturels. Au fil du temps, les gens sont venus s’installer pour y travailler, espérant profiter de la manne financière promise. Aujourd’hui, ce sont près de 150 000 habitants qui peuplent la région, dont environ 4 000 travailleurs de la mine. Areva a créé cette ville de toutes pièces : des écoles et des hôpitaux ont été construits pour que les travailleurs restent sur place. Depuis, les populations vivant aux abords de la région connaissent des difficultés respiratoires, des cancers, les femmes accouchent d’enfants mal formés.
Ce sont surtout les retraités de la mine qui sont touchés. Beaucoup meurent de paralysies et de maladies étranges. Pire encore, la ville a été construite avec la terre contaminée. Les maisons sont construites avec l’argile radioactif et les outils de la vie quotidienne (marmites, ustensiles) sont fabriqués avec la ferraille de la mine. Dans son film La Colère dans le vent, présenté à Dakar dans le cadre du festival Films Femmes Afrique, la réalisatrice nigérienne Amina Weira, dénonce les conséquences de l’extraction sur les populations d’Arlit. « Ils ne mesurent pas le danger de cette activité. Lorsqu’ils fondent le fer, la radioactivité se libère. Pour construire, les habitants ont utilisé l’argile contaminée autour d’eux. Certains quartiers sont à moins de 200 mètres de la mine. Les normes ne sont pas respectées. Et les tempêtes de sable propagent la radioactivité dans la ville. »
Et avec tous ces problèmes s’ajoute le problème de l’immigration dans la région d’Agadez.